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«Si je ne pars pas, je serai déçu de moi»

Dans la forme de sa vie, Natan Jurkovitz ambitionne de poursuivre sa carrière à l’étranger dès cet été

Ce soir à Saint-Léonard, Natan Jurkovitz va à nouveau croiser la route de l’international français, Hugo Ivernizzi. L’occasion de montrer tous les progrès qu’il a réalisés. © Basketball Champions League
Ce soir à Saint-Léonard, Natan Jurkovitz va à nouveau croiser la route de l’international français, Hugo Ivernizzi. L’occasion de montrer tous les progrès qu’il a réalisés. © Basketball Champions League

François Rossier

Publié le 23.01.2019

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Basketball » Nanterre ce soir, PAOK Salonique la semaine prochaine et Venise dans deux semaines: il reste trois gros matches de Ligue des champions à Natan Jurkovitz pour ajouter quelques belles lignes à son CV et forcer son destin. A 23 ans, l’ailier du Fribourg Olympic n’a jamais été aussi proche d’un départ à l’étranger. Plus qu’un rêve, c’est un objectif pour le N° 99 fribourgeois. «J’ai l’impression que c’est en bonne voie. Si je ne pars pas, je serai déçu de moi», avoue Jurkovitz.

S’il se montre plutôt confiant, c’est que la participation d’Olympic à la Ligue des champions lui a offert une exposition inespérée. «Cette compétition est un sacré tremplin. Depuis cet automne, il y a pas mal d’agents qui m’ont approché. Je sais aussi que les coac

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