C’est curieux, chez Usain Bolt, ce besoin d’exister
Pascal Dupasquier
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Ras le Bolt. J’en connais qui sont devenus entraîneurs, directeurs sportifs, dirigeants de club, de fédération, voire de pays si je songe à George Weah, fraîchement élu à la présidence du Liberia… J’en connais qui sont devenus membres du CIO, consultants pour la télévision, journalistes (eh oui) et agents d’athlètes… J’en connais qui sont devenus hommes d’affaires (Jean-Claude Killy), marchands de cycles (Eddy Merckx, Greg LeMond), de fleurs (Roger Pingeon) ou paysan (Bernard Hinault)…
J’en connais d’autres qui sont devenus restaurateurs, patrons de bistrot et même de boîte de nuit façon Jack La Motta… J’en connais enfin qui sont devenus chanteurs de charme (Julio Iglesias), de Schlager Parade (Hans Hinterseer) ou qui se sont essayés à la comédie (Eric Cantona ou Mike Tyson dans Very B