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«Ce fut un honneur de jouer avec vous…»

Le FC Sion ne tutoie plus les sommets, au contraire de son président. © Keystone-archives
Le FC Sion ne tutoie plus les sommets, au contraire de son président. © Keystone-archives

Pierre schouwey

Publié le 03.08.2019

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Chronique

Titanic. Christian Constantin a raison: le monde des médias se trouve dans un état de tension économique. Une réalité à laquelle le saint patron du FC Sion a pu se confronter l’été passé quand, à la mort du Matin dans sa version papier, il a tenté brièvement de le réanimer. Sans parvenir à éviter le naufrage annoncé. Sa réponse à la prise de position commune de plusieurs rédacteurs en chef de médias suisses romands qui ont apporté leur soutien au quotidien Le Nouvelliste, boycotté depuis une année par le club valaisan, n’a pas déçu les plus friands de punchlines «constantiniennes». Dont, je l’avoue, j’ai souvent fait partie. Vous pas? Allez. Comment ne pas esquisser un sourire lorsque l’agresseur de Rolf Fringer s’imaginait, pour sa défense, en gentil saint-bernard qui «tout d’un coup, on ne sait pourquoi, mord».

Un modèle guère modèle

Plutôt sage depuis son dernier accès de rage, impression que ne partagent sans doute pas les anciens entraîneurs sédunois Maurizio Jaco

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