Chronique: Non, on ne jette pas un cadeau
Question de politesse, notre chroniqueuse ne se sépare jamais des cadeaux qu'elle reçoit. Même quand il s'agit d'un énième foulard ou d'un taille-crayon en forme de taco
Angélique Eggenschwiler
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Le mot de la fin » J’ai trié mon «tiroir à foulards». Dix-huit au total. Ça fait beaucoup, certes, d’autant que le foulard n’est pas, à proprement parler, un truc qu’on se doit de posséder par multiple, comme les culottes ou les phalanges par exemple. D’ailleurs, je n’en ai jamais acheté de ma vie. De foulards j’entends, il m’arrive de changer de culotte de temps en temps.
Pas besoin avec toutes les tantes par alliance décrétant que ce dont vous avez toujours rêvé, c’est un foulard pour votre anniversaire. Un truc de nanas ça, on se dit: «Elle s’épile, elle mange des légumes, elle doit adorer les foulards.» Ça et les shampoings bio, les parfums floraux et les coffrets de savons (notez, il y a peut-être un message).
Des cadeaux qui sentent bon le souvenir de vacances hors taxe
Des cadeaux très personnels qui sentent bon le souvenir de vacances hors taxe ou le gel douche en solde chez Manor à deux heures du souper de Noël. Deux bisous et un «Oh chouette, une boul