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Patrick Biolley
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Chronique
Cela ne vous aura pas échappé, chère lectrice, cher lecteur, nous vivons dans un pays qui possède trois langues nationales principales et un dialecte que le fédéralisme nous oblige à ne pas oublier. Le problème, pour autant qu’il y en ait un, est que toute la communication sportive ou presque se fait en allemand. Pour nous Romands ou pour nos confrères tessinois, il faut donc maîtriser deux langues: celle de Goethe et, si possible, la nôtre.
Prenez cette conférence de presse d’un autre temps organisée par l’Association suisse de football (ASF) la semaine dernière. Le brave Vladimir Petkovic, entraîneur national et Tessinois, a été obligé de s’exprimer dans une langue qui n’était pas la sienne. Un journaliste d’outre-Gothard lui pose une question en italien, il répond en allemand… Biz