Frédéric Brandenberger, coureur et organisateur, est satisfait du déroulement de «sa compétition».

A peine descendu de son vélo, puisqu’il s’est élancé en Masters 2, Frédéric Brandenberger était de retour aux abords du parcours afin de vérifier que la manifestation se passe au mieux. «Je suis là depuis le début de la semaine, explique-t-il. Mardi, j’ai commencé à planter des poteaux pour tracer le parcours. Nous avons attendu le dernier moment pour savoir si nous pourrions organiser cette course, et je suis très heureux d’avoir pu le faire.» Par rapport aux dernières éditions, le tracé était le même, à l’exception de la longue montée qui s’effectuait sur la route. «Nous avons supprimé le portage dans les escaliers, car certains coureurs ont estimé que c’était trop dangereux. Il n’y a pas de rampe pour se tenir. Un coureur qui chute peut entraîner tout le monde.»

S’il fallait encore une preuve que le cyclocross est une discipline hivernale, elle est bien venue samedi à Co