En vélo, c’est la taille qui compte
Comme à Milan-San Remo samedi, le peloton roule en effectif réduit depuis le début de la saison
Mathieu Roduit, San Remo
Temps de lecture estimé : 6 minutes
Cyclisme » Cette année, en jouant à la «loterie» de Milan-San Remo, on avait clairement plus de chances de tirer le bon numéro. Une sur 175 pour être exact, soit le nombre de coureurs au départ contre 200 lors de l’édition 2017. Si la donne a changé pour les bookmakers, là n’était pas l’intention de l’UCI. «D’une part, il y a le souhait d’améliorer la sécurité sur des routes où l’urbanisme se développe. D’autre part, les courses sont rendues plus dynamiques, moins contrôlées», rappelle Richard Chassot, organisateur du Tour de Romandie.
En septembre 2017, la fédération basée à Aigle (VD) annonçait un plafond de 176 coureurs pour le circuit World Tour. Samedi, sur la «Primavera», les vingt-cinq formations ont donc dû se contenter d