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«Je suis né pour les classiques»

Cette période aurait dû être celle des courses d’un jour dont Fabian Cancellara était un spécialiste

Il y a six ans, Fabian Cancellara levait une dernière fois les bras au Tour des Flandres devant Greg Van Avermaet (à gauche) et Sep Vanmarcke. © Keystone-archives
Il y a six ans, Fabian Cancellara levait une dernière fois les bras au Tour des Flandres devant Greg Van Avermaet (à gauche) et Sep Vanmarcke. © Keystone-archives

Patrick Biolley

Publié le 06.04.2020

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Cyclisme » Ne croyez pas que, depuis sa retraite en 2016, Fabian Cancellara coule des jours paisibles dans son canton de Berne natal. Ça non! Entre sa société qu’il gère malgré le coronavirus, l’organisation de ses cyclosportives et le rôle le plus important de sa vie, celui de papa, ses journées sont bien remplies. «Je vais rouler un peu avec mes enfants en forêt, c’est bien de sortir pour s’aérer la tête et l’esprit. Mais il faut faire attention. Nous sommes tous dans le même bateau et il faut respecter les décisions de Messieurs Berset et Koch», assure le Bernois avant de revenir sur la période bizarre que nous vivons. «C’est dommage qu’il n’y ait pas les courses, les émotions et surtout de nouveaux vainqueurs au palmarès. Les dimanches sont étranges sans vélo, sourit-il. Je n’aurais pas fait le déplacement pour Paris-Roubaix cette année, mais j’aurais été au Tour des Flandres (qui aurait dû se dérouler hier, ndlr).»

Deux épreuves qui ont une place spéciale dans le cœur d

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