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A Guin, «le coach, c’est l’équipe»

Chose rare, la 2e garniture du Birchhölzli a choisi de se passer d’entraîneur. Pour l’instant, ça fonctionne

Sur le banc 
de touche de Guin II, chacun prend son rôle très à cœur. © Charly Rappo
Sur le banc 
de touche de Guin II, chacun prend son rôle très à cœur. © Charly Rappo

Pierre Salinas, Guin

Publié le 11.10.2017

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Troisième ligue »   John Kessel, responsable de la formation des jeunes volleyeurs américains: «L’entraîneur médiocre parle, le bon explique, le super démontre et le meilleur inspire.» John Kessel, encore lui: «Trop d’entraîneurs ont une grande gueule et de petites oreilles.»

Pour peu qu’ils manquent de temps, de motivation ou – pire – de psychologie, tous les entraîneurs ne sont pas indispensables. A Guin II, équipe de 
3e ligue sans prétention, on a tranché dans le vif et choisi de s’en passer, chose assez rare pour être soulignée. Depuis le début de la saison, la deuxième garniture du Birchhölzli se suffit à elle-même. Pas de pilote dans l’avion, seulement une cellule de cinq têtes pensantes, qui suggère plus qu’elle n’impose, et l’obligation pour chaque

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