«Je sais que j’ai fait le bon choix»
Léo Seydoux a trouvé à la Maladière ce qui lui manquait à Young Boys: du temps de jeu
Patrick Biolley, Neuchâtel
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Football » A une année près. Léo Seydoux est en quelque sorte un miraculé. En 2012, Neuchâtel Xamax faisait faillite et les liens que le club de la Maladière entretenait avec le Team AFF s’étaient logiquement rompus. Le Veveysan avait tout juste 14 ans et ne quittera la filière de formation cantonale que l’année suivante. Au lieu de se trouver dans le marasme qu’ont connu passablement de footballeurs fribourgeois de la génération le précédant, qui aujourd’hui garnissent les ligues amateurs, lui est propulsé dans la capitale, avec Young Boys. Club avec lequel il a remporté deux titres ces deux dernières saisons.
Mais ces succès, Léo Seydoux les a vécus depuis le banc le plus souvent. Trois apparitions avec le maillot jaune et noir – dont une seule titularisation – et des allers et retours entre la Supe