Football » Dans l’histoire de la Bundesliga, aucune équipe n’a jamais fait mieux que le Bayer Leverkusen, après onze matches de championnat. Seul le Bayern de Munich version 2015-2016 affichait lui aussi ce ratio fou de 31 points (sur 33 possibles) à l’heure de la trêve internationale de novembre. Point commun entre ces deux exploits? Xabi Alonso: maître à jouer de la formation bavaroise il y a huit ans, cerveau de Leverkusen désormais. S’il a troqué son maillot et ses crampons contre des chemises cintrées et un costume d’entraîneur, l’Espagnol prouve dans son nouveau rôle qu’il n’a en rien perdu de son «Q.I. football» au-dessus de la moyenne. Il est l’une des raisons de ce début de saison fanfaronnant. Pas l’unique.

Pour Stéphane Henchoz, s’étonner