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Par ici la bonne Coupe!

Passer deux, voire trois tours préliminaires avant de disputer la Coupe de Suisse en vaut-il la chandelle?

Le 13 août 2016, le gardien Florian Perler et Romont avaient accueilli le FC Sion d’Edimilson Fernandes devant 2900 spectateurs. Un souvenir inoubliable au Glaney. © Charly Rappo-archives
Le 13 août 2016, le gardien Florian Perler et Romont avaient accueilli le FC Sion d’Edimilson Fernandes devant 2900 spectateurs. Un souvenir inoubliable au Glaney. © Charly Rappo-archives

Pascal Dupasquier

Publié le 17.03.2018

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Football »   Depuis le renouvellement de sa formule en été 2003, la Coupe de Suisse fait dans le sélectif, privilégie le cador, malmène le sans-grade. Pour rêver d’entrer au «paradis» des 64 élus du tableau principal, le pensionnaire de 1re ligue et de 2e ligue interrégionale ne doit-il pas passer par le «purgatoire» de deux, voire trois tours préliminaires entre adversaires de la même division? Tours étrangement programmés la saison précédente, alors que les esprits sont focalisés sur le championnat.

Chemin d’embûches, chemin de croix, la Coupe de Suisse reste-t-elle attractive pour les clubs qui n’appartiennent ni à la Super ni à la Challenge League? Si elle ne date pas d’aujourd’hui, la question se pose au moment où Fribourg et Portalban/Gletterens s’apprêtent respec

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