Un arbitrage vidéo à la carte
Après plusieurs cas litigieux à la Coupe du monde, l’assistance vidéo à l’arbitrage alimente les discussions
François ROssier
Temps de lecture estimé : 7 minutes
Football » La VAR, pour Video Assistant Referee (assistance vidéo à l’arbitrage), n’a pas tardé à faire parler d’elle. Utilisée pour la première fois en Coupe du monde samedi durant le match France-Australie, elle alimente les discussions depuis lors. La raison, ou plutôt les raisons? Un flou certain autour de son utilisation et des interprétations qui peinent parfois à convaincre (voir ci-dessous). De quoi enflammer les débats entre les pro- et les anti-vidéo. «Cela peut éviter des erreurs, mais ça peut aussi être source de conflits», avait averti Bruno Derrien, ancien arbitre international français, avant la Coupe du monde.
Quatre critèresIl n’aura pas fallu plus d’un week-end en Russie pour que la VAR devienne le principal sujet de discussion, plus encore que les départs poussifs des favoris ou le