Cette surenchère qui scinde la ligue
De nombreux salaires ont pris l’ascenseur dans le hockey suisse. Trois directeurs sportifs font le point
pierre Schouwey
Temps de lecture estimé : 5 minutes
Hockey sur glace » Dans le microcosme du hockey suisse où directeurs sportifs, joueurs et intermédiaires négocient dans un marché ouvert toute l’année, le grand public et les spécialistes se heurtent à une vitre opaque. Les salaires, c’est tabou! «Il s’agit d’un sujet sensible sur lequel je n’ai pas tellement envie de m’exprimer», coupe d’entrée un agent actif dans le monde du hockey suisse. Un tabou que Stéphane Rochette, consultant pour la chaîne MySports, a empoigné de son joli accent québécois en présentant une estimation des salaires annuels que toucheront les joueurs qui vont prochainement changer d’adresse en National League. En haut de la «liste»: les futurs Dragons que sont Furrer (600'000 francs), Schneeberger (500'000) et Walser (450'000).
Un trio que l’ancien