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Comment Gottéron évite les bobos

Plus vieux que leurs semblables, les Dragons passent moins de temps à l’infirmerie. Toute une philosophie

Simon Holdener: «Je suis d’avis qu’il ne faut pas jouer avec la santé des joueurs.» © Alain Wicht-archives
Simon Holdener: «Je suis d’avis qu’il ne faut pas jouer avec la santé des joueurs.» © Alain Wicht-archives

Pierre Schouwey

Publié le 16.01.2023

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Hockey sur glace » C’est une constante depuis trois ans et un constat d’autant plus rassurant dans un mois de janvier «marathonesque» de 13 matches en 30 jours: Gottéron slalome habilement entre les coups durs. Si les blessures font partie intégrante d’une saison de hockey sur glace, elles sont relativement peu nombreuses chez le cinquième de National League. «Moins nombreuses que dans les autres clubs», ajoute Simon Holdener, préparateur physique des Dragons. Plutôt que de comparer et avant de décrypter, listons: en quatre mois et demi de compétition, les joueurs passés par l’infirmerie fribourgeoise se comptent sur les doigts d’une seule main.

De simples bobos pour Mauro Dufner, Mauro Jörg et Samuel Walser, lesquels ont raté respectivement quatre, trois et deux rencontres. Si Juuso Vainio a dû faire une croix sur les trois derniers matches

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