Des aides «trop contraignantes»
Après avoir réclamé – et obtenu – des aides à fonds perdu, plusieurs clubs cherchent comment s’en passer
François Rossier
Temps de lecture estimé : 4 minutes
Hockey sur glace » Souvenez-vous l’automne dernier: le hockey sur glace, poussé dans les cordes par l’interdiction d’accueillir des spectateurs dans les patinoires, clamait haut et fort qu’il ne jouerait pas à huis clos. Passé l’effet de surprise, les clubs ont vite compris qu’il était préférable de jouer devant des gradins déserts plutôt que risquer la faillite. Mais il nous faudra des aides à fonds perdu, criaient à ce moment-là tous les clubs du pays.
Se passer le puck et le virus
Après une lutte intense et un lobbying des plus efficaces, les hockeyeurs ont obtenu le soutien financier qu’ils réclamaient. A la mi-novembre, la Confédération a accepté de débloquer 115 millions de francs d’aide à fonds perdu pour le sport afin de compenser les pertes occasionn&eacut