Que vous inspire le chantier de la patinoire?

J’avais presque perdu espoir de le voir commencer. On en parlait depuis que je suis arrivé il y a 16 ans. Mais c’est une très, très bonne chose pour le club et la région.

Pourriez-vous travailler sur un chantier?

Pas vraiment. Je n’ai pas ce côté manuel. J’aime les petits travaux à la maison, mais cela s’arrête à percer des murs.

Avez-vous l’âme du bâtisseur?

Dans le sens figuré, oui. Bâtir une famille, des bases sur le long terme, ce sont des valeurs qui me parlent.

Quelle est la plus grosse tuile qui vous soit tombée sur la tête?

La blessure aux championnats du monde (en 2009, charge de l’Américain David Backes, ndlr). Que ce soit humainement