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Une pause qui peut laisser des traces

Comment les équipes de National League ont-elles digéré la coupure olympique? Réponses dès ce soir

Après avoir disputé la petite finale des Jeux olympiques de PyeongChang avec la République tchèque, Michal Birner et Roman Cervenka (à droite) manqueront la reprise ce soir contre Bienne. © Charly Rappo
Après avoir disputé la petite finale des Jeux olympiques de PyeongChang avec la République tchèque, Michal Birner et Roman Cervenka (à droite) manqueront la reprise ce soir contre Bienne. © Charly Rappo

François Rossier

Publié le 28.02.2018

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Hockey sur glace »   Après 25 jours de pause, la National League reprend ses droits ce soir. Jeux olympiques obligent, les clubs ont dû occuper leurs joueurs durant les trois dernières semaines afin de les préparer au mieux pour la dernière ligne droite. Toutes les équipes n’ont pas été logées à la même enseigne durant ce mois de février. Alors que Berne, avec ses 13 sélectionnés olympiques, a dû bricoler (lire ci-après), que Fribourg-Gottéron a vécu sans quatre de ses mercenaires, Langnau et Lausanne ont traversé la coupure au complet. Un avantage? Probablement, mais en aucun cas une garantie de succès. Si les clubs suisses n’avaient encore jamais vu autant de monde partir aux Jeux olympiques, en raison de l’absence des joueurs NHL, les longues pauses juste avant les play-off ne sont pas nouvelles.

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