Marina Gilardoni: «Je peux faire connaître mon sport»
Patricia Morand, PyeongChang
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En tapant «Marina Gilardoni skeleton» dans un moteur de recherche, près de 7000 occurrences apparaissent. On est à des années-lumière de ce qu’on découvre pour «Shaun White snowboard». En moins d’une seconde, le résultat dépasse le million pour la vedette du surf des neiges. Aux Jeux olympiques, la Suissesse et l’Américain ont le même statut. «C’est une belle occasion de faire découvrir mon sport marginal», sait la Saint-Galloise de 30 ans.
Foncer sur une planche dans un couloir de glace à 130km/h la tête la première: Marina Gilardoni en redemande. Enfant, elle pratiquait l’athlétisme, les disciplines multiples pour ne pas, déjà, faire comme tout le monde, avant de se mettre au bobsleigh à vingt ans. La Saint-Galloise s’est lancé un nouveau défi sportif avec le skeleton f&e