A Bossonnens, le «bébé» de Mamassis
A l’image de son propriétaire de 75 ans, le centre de tennis veveysan a beaucoup d’histoires à raconter
Pierre Salinas
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Communes et sport » La rime est pauvre, mais l’endroit riche en histoire et autres anecdotes. Pour qui a déjà tâté de la petite balle jaune, qui dit Bossonnens dit Paul Mamassis, fondateur d’un centre de tennis connu loin à la ronde: du terroir fribourgeois à la Cité de Calvin chère à Marc Rosset, en passant par la Riviera vaudoise et Bottmingen, petit village bâlois où un certain Roger Federer a vu le jour. De l’homme aux 20 titres du grand chelem, mais de l’adolescent irascible qui ne s’était pas encore acheté une conduite, il sera question plus loin.
Pour l’heure, Paul – ou doit-on écrire Pavlos? – Mamassis, né le 9 novembre 1944 à Thessalonique «où il y a une plaquette à mon nom», fait le tour du propriétaire. Monsieur est difficile à apprivoiser, qui plus est par t&e