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Le jour où Federer a retardé l’échéance

Publié le 03.04.2020

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Dans le rétro 3 avril 2005

Tennis » Nous sommes le 3 avril 2005. Le pape Jean-Paul II est décédé la veille. Le Maître, lui, est en train de naître. Fin mars, Roger Federer débarque à Key Biscayne, où se déroule le Masters 1000 de Miami, avec le vent en poupe. 2004 a été l’année de la confirmation. Le N°1 mondial a raflé tous les grands chelems à l’exception de Roland-Garros. Sur l’ocre parisien, c’est Gustavo Kuerten, vainqueur au troisième tour, qui a été son bourreau et non pas Rafael Nadal. Mais le gaucher espagnol a déjà pointé le bout de son biceps saillant. En mars 2004, déjà sur le court en dur floridien, Nadal, 32e mondial du haut de ses 17 ans, avait eu la peau du favori helvétique, lui infligeant un sec 6-3 6-3 en seizièmes de finale. Le 3 avril 2005, le taureau

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