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Le tennis en marchant, comment ça marche?

Pierre Salinas

Publié le 30.01.2020

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Analyse

Dans quel état se présentera-t-il, s’il se présente? A l’aube d’un 50e rendez-vous entre Roger Federer et Novak Djokovic, la question était sur toutes les lèvres. La réponse n’a pas tardé à tomber, et c’est un Bâlois clairement diminué qui s’est incliné en trois sets, ce jeudi en demi-finale de l’Open d’Australie.

Deux miracles c’est assez, trois c’est trop. Déjà sur un fil face à l’Australien John Millman puis contre l’Américain Tennys Sandgren, Roger Federer l’équilibriste a eu l’immense mérite d’adapter sa tactique à sa forme physique, comme lui seul est capable de le faire, serait-on tenté d’ajouter. Pas de glissades intempestives – car le joueur moderne glisse sur dur comme sur terre battue – ni de passings tentés

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