Le décor change, les habitudes non
La Coupe d’Europe permet aux volleyeuses de sortir de la routine du championnat de Suisse
Patrick Biolley
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Volleyball » Genève, Vaud, Bâle, Schaffhouse, Neuchâtel, Jura, Tessin et on recommence. Les mêmes routes, les mêmes salles, les mêmes paysages. Il y a de quoi se lasser, à force, du championnat de Suisse. La Coupe d’Europe arrive donc à point nommé. Elle amène le piment nécessaire au moral de la sportive qui a besoin, sans cesse, de défis supplémentaires. Gagner en Suisse, comme le fait Guin actuellement, c’est bien, mais aller se frotter à d’encore meilleures équipes aux quatre coins du continent, c’est mieux. Même si on ne voit pas grand-chose de la ville visitée et que celle-ci n’est pas toujours la plus glamour, c’est un changement de routine.
Réaliser un exploitEn matière de sport, entre un match en Hongrie, comme le vivront les Power Cats ce soir (19 h), et une rencontre à Lugano, où