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Dario Bettello, l’entraîneur de Guin, compte sur deux assistants, un physio et la vidéo pendant un match

Quatre membres de l’encadrement proche des Power Cats encouragent les joueuses lors de la présentation d’équipe. De gauche à droite: Rolf Kröpfli, Alfred Roth, Michal Tarabcik et Dario Bettello. © Aldo Ellena
Quatre membres de l’encadrement proche des Power Cats encouragent les joueuses lors de la présentation d’équipe. De gauche à droite: Rolf Kröpfli, Alfred Roth, Michal Tarabcik et Dario Bettello. © Aldo Ellena
Dario Bettello, entraîneur de Guin © Charly Rappo
Dario Bettello, entraîneur de Guin © Charly Rappo

PATRICIA MORAND

Publié le 18.04.2018

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Volleyball »   Guin accueille Kanti Schaffhouse ce soir pour l’acte II d’une petite finale du championnat suisse féminin de volleyball au meilleur des trois matches. Au coup d’envoi, six joueuses singinoises se trouveront sur le terrain, face à autant d’adversaires de Suisse orientale de l’autre côté du filet. Les remplaçantes se trouveront dans une zone réservée en bout de salle, alors que le banc servira aux assistants de Dario Bettello qui, lui, restera debout, à la hauteur du jeu.

L’entraîneur en chef suivra toute la rencontre avec son tableau servant à la théorie en main et une tablette accrochée à son bras. Le volleyball ressemble fort à une partie d’échecs. A la manœuvre, le maître s’appuie sur son expérience, ses assistants et une technologie de pointe. Le numérique a remplac

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