La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Stratégie d’autodéfense face au mildiou

Publié le 15.05.2019

Temps de lecture estimé : 1 minute

Université de Fribourg » Plutôt que d’utiliser des fongicides chimiques pour combattre le mildiou, pourquoi ne pas se servir de bactéries choisies par la plante elle-même? Les groupes de la professeure Laure Weisskopf et du docteur Falquet, du Département de biologie de l’Université de Fribourg, vont travailler durant trois ans sur un projet novateur visant à laisser une plante déterminer les bactéries nécessaires pour combattre les pathogènes qui l’attaquent, annonce l’Alma mater dans un communiqué. «La plupart du temps, nous sélectionnons nous-mêmes les bactéries à utiliser sur la base de leur efficacité en laboratoire», indique la professeure Weisskopf.

Ce projet est financé à hauteur de 410 000 francs par la Fondation Gebert Rüf. Le mildiou est une maladie qui touche principalement les plants de pommes de terre mais peut aussi s’en prendre à ceux des tomates. «Elle peut survivre dans le sol d’une année à l’autre ou être introduite par des plants contaminés, et il est alo

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11