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Droite romande, la relève en question

Départs à la retraite de ténors, démissions, affaires: les partis bourgeois ont été ébranlés en 2018

A l’instar de Guillaume Barazzone, plusieurs jeunes politiciens prometteurs ne siégeront pas au Conseil national élu en 2019. © Keystone-archives
A l’instar de Guillaume Barazzone, plusieurs jeunes politiciens prometteurs ne siégeront pas au Conseil national élu en 2019. © Keystone-archives

Sevan Pearson

Publié le 24.12.2018

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Politique » La voix des Romands va-t-elle s’affaiblir à l’Assemblée fédérale, alors que nombreux sont les ténors de la politique à quitter le navire? La scène politique romande est en effet en pleine recomposition depuis plusieurs mois et la question de la relève se pose. «Lors de départs naturels, les partis ont le temps de s’organiser», observe Pascal Sciarini, politologue et professeur à l’Université de Genève. «Mais lorsque les départs sont inattendus, assurer la relève est plus difficile.» Petit tour d’horizon.

1 Démissions en chaîne à l’UDC

L’UDC a connu des sueurs froides durant le chaud mois d’août: Stephan Moser, président de la section neuchâteloise, Ruedi Schläfli, président de la section fribourgeoise et le Vaudois Kevin Grangier, che

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