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Ethos, le poids du passé

Le choc de la démission de deux administratrices suscite une vague de témoignages sur la fondation

Habitué à pourfendre les excès de pouvoir dans l’entreprise, Dominique Biedermann est à son tour montré du doigt par d’anciens collaborateurs. © Alain Wicht-­archives
Habitué à pourfendre les excès de pouvoir dans l’entreprise, Dominique Biedermann est à son tour montré du doigt par d’anciens collaborateurs. © Alain Wicht-­archives

ariane gigon, zurich

Publié le 26.01.2018

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Durabilit »   «Inacceptable»: c’est le mot qui revient invariablement chez d’anciens collaborateurs et collaboratrices d’Ethos, qui dénoncent une inadéquation entre le discours public de la fondation et ce qui se passe, ou se passait, à l’intérieur de ses murs. S’ils sortent du bois anonymement aujourd’hui, c’est pour soutenir deux administratrices démissionnaires (lire La Liberté du 15 décembre 2017). Ethos réagit en rejetant ces accusations et en annonçant des mesures concernant la pérennité de l’entreprise prochainement.

Il a souvent été appelé le «Robin des bois» des droits des actionnaires: Dominique Biedermann, qui fêtera ses 60 ans dans quelques jours, a, par l’intermédiaire d’Ethos qu’il a cofondée en 1997, pourfendu autant les salaires exo

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