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Jusqu’où aider à mourir?

Après différentes affaires qui ont défrayé la chronique judiciaire, Pierre-Yves Rodondi estime que le champ d’action autour de l’assistance au suicide doit être mieux encadré

Le professeur Pierre-Yves Rodondi recommande «une séparation claire entre l’entité qui fait l’évaluation et celle qui agit». © Charly Rappo
Le professeur Pierre-Yves Rodondi recommande «une séparation claire entre l’entité qui fait l’évaluation et celle qui agit». © Charly Rappo

Igor Cardellini

Publié le 25.10.2019

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Fin de vie » Les lignes éthiques bougent sur les questions liées à la fin de vie et au rôle du médecin. La multiplication récente de procès liés à l’assistance au suicide en témoigne. Dernier cas en date: celui du Genevois Pierre Beck, médecin-conseil et vice-président d’Exit Suisse romande, reconnu coupable d’avoir prescrit une substance létale à une personne en bonne santé, en violation de la déontologie et de la loi fédérale sur les médicaments.

Lire aussi » L’aide au suicide divise (7.06.2018)

En 2017, Pierre Beck avait contribué à abréger la vie d’une de ses patientes de 86 ans, prescrivant un barbiturique à cette femme

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