Les soeurs d'Ingenbohl ont maltraité des pensionnaires
ATS
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Les experts désignés par le monastère ont travaillé pendant deux ans. Ils avaient pour mandat de répondre à des questions et non pas de juger ou de pardonner, a souligné l'avocat de Wettingen (AG) Magnus Küng, président de la commission d'experts.
Le rapport met en évidence le fait que le monastère, les autorités, les organes de surveillance et les directeurs de homes portent une part de responsabilité. Il y a eu des abus et des mauvais comportements que l'on n'aurait pas dû tolérer, selon Magnus Küng.
La commission d'experts a rencontré parfois des difficultés à trouver des preuves qui confirment les témoignages des pensionnaires. C'est notamment le cas sur d'éventuels abus sexuels commis par les soeurs. Il est possible que de tels actes se soient produits. Il n'existe du moins pas d'arguments plausibles contre cette possibilité, a indiqué le pédagogue Anton Strittmatter.
Choses insoutenables
Pendant leur enquête, les experts ont été confrontés à des choses