Pas que des malheureux à l'annonce de la fin de «L'Hebdo»
La fin de «L'Hebdo» ne fait pas que des mécontents. L'ancien conseiller national UDC Yvan Perrin note par exemple que le Parti socialiste et le NOMES devront dorénavant payer leur propagande.
ATS
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Si beaucoup de gens, professionnels de la presse ou lecteurs, parlent de coup de dur et de tristesse à l'annonce de la fin de «L'Hebdo», d'autres semblent plutôt s'en réjouir. Du coup, ils pointent la dimension politique de l'événement.
Sur Facebook, l'UDC Yan Perrin écrit lundi: premières conséquences, le Parti socialiste et le Nouveau mouvement européen suisse (NOMES) devront désormais payer leur propagande. Le secrétaire général de l'UDC Vaud, Kevin Grangier, relève de son côté: «L'Hebdo s'en va, place à la Weltwoche en français».
Le site Les observateurs.ch n'est pas en reste. Fin du magazine romand «de gauche»: «la disparition d'un tel journal ne peut que se fêter», peut-on lire sous une photo de bouchon de bouteille de champagne qui saute.