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Les chaleurs hivernales font froid dans le dos

Les hivers toujours plus chauds impactent autant la faune que la flore, entre risque de gel et sortie de dormance ou d’hibernation. Notre santé ainsi que notre consommation d’énergie sont également influencées par la montée du mercure.

En raison des douceurs hivernales, les noisetiers ont déjà commencé à répandre leur pollen. © Congerdesign, Pixabay
En raison des douceurs hivernales, les noisetiers ont déjà commencé à répandre leur pollen. © Congerdesign, Pixabay

Rémi Alt

Publié le 07.02.2024

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Des arbres qui bourgeonnent au début du mois de février, des hérissons qui gambadent en janvier, des chauffages éteints tout l’hiver, autant d’images auxquelles il faudra peut-être s’habituer à l’avenir. Les hivers se réchauffent, et les journées chaudes au milieu de la période froide, comme ces dernières semaines, se multiplient. Selon le site internet de l’Office fédéral de météorologie et de climatologie MétéoSuisse, c’est en hiver que la variabilité des températures est la plus grande, autant au sein d’une même journée que d’une année à l’autre au niveau des températures moyennes.

Si les conditions météorologiques hivernales semblent donc très diversifiées, les coups de chauds, de plus en plus fréquents, refroidissent tout de

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