Marc Aebischer
18 juin 2024 à 10:50
Temps de lecture : 3 min
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Le Titanic se disait insubmersible, le Djokovic paraissait intemporel. Le premier a sombré il y a plus de cent ans. Le second a récemment touché un coin d’iceberg sur la terre parisienne. Signe qu’il n’a pas, comme on l’a longtemps cru, un endosquelette de métal inoxydable. Son ménisque friable démontre que l’emprise de la machine sur l’humain n’est pas encore définitivement actée.