Logo

Amjad Al Rasheed. «Une femme peut-elle refuser de se soumettre à la tradition?»

Thriller social porté par la comédienne palestinienne Mouna Hawa, Inshallah a Boy est en compétition au Festival international du film de Fribourg (FIFF). Le long-métrage a trouvé un distributeur suisse et sortira en salles ce printemps.

Amjad Al Rasheed: «Idéalement, le film devrait commencer lorsque les spectateurs quittent la salle et se mettent à discuter.»Charly Rappo

Olivier Wyser

Olivier Wyser

22 mars 2024 à 10:30

Temps de lecture : 5 min

Une jeune veuve, mère d’une petite fille, doit faire croire qu’elle est enceinte d’un garçon pour contourner une loi ancestrale qui l’obligerait à rendre une partie de l’héritage de son défunt mari à sa belle-famille. C’est le point de départ d’Inshallah a Boy, le premier long-métrage du jeune cinéaste jordanien Amjad Al Rasheed. Présenté en compétition au Festival international du film de Fribourg (FIFF), ce thriller haletant et puissant a d’ores et déjà trouvé un distributeur et débarquera ce printemps dans les salles obscures helvétiques.