Heureusement, Superpatate est intervenu
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FIFF » L’atelier de stop-motion Salsifilm permet pour la première fois aux enfants de découvrir la fabrication de ce type de film d’animation.
«Bon alors on choisit Supercarotte ou Superpatate?» demande le réalisateur Benoît Dietrich aux six enfants. Après une discussion houleuse, le tubercule l’emportera finalement. Pour choisir le Némésis de la pomme de terre, ce sera encore pire. La discussion portera sur qui aime quel légume. «Le méchant pourrait être l’éplucheur», proposera même le jeune Xavier qui déborde d’idées. Le brocoli n’apparaîtra pas au générique du film: il n’a pas passé le casting de la production maraîchère baptisée Salsifilm.
Cet atelier proposé samedi visait à plonger les cinéastes en herbe dès 8 ans dans le monde de la stop-motion, cette fabrication de films d’animation qui nécessite de la patience et un nombre considérable de photos. Il est un des événements mis sur pied par le Festival international du film de Fribourg (FIFF) – le second atelier a