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Tsvétaïéva, l’amour, la mort

Vénus Khoury-Ghata, Marina Tsvétaïéva, mourir à Elabouga, Ed. Mercure de France, 196 pp.
Vénus Khoury-Ghata, Marina Tsvétaïéva, mourir à Elabouga, Ed. Mercure de France, 196 pp.
Publié le 23.02.2019

Temps de lecture estimé : 1 minute

Vénus Khoury-Ghata » Terrible scène initiale que celle de Marina Tsvétaïéva, mourir à Elabouga: celle d’une poétesse russe qui, poussée à bout par un temps qui n’est pas le sien, choisit de s’en aller. «Ton pied repousse la chaise sous tes pieds, tu es à la merci de la corde», écrit Vénus Khoury-Ghata, l’écrivaine d’aujourd’hui. La mort en une phrase… Une biographie qui éclaire crûment la vie de Tsvétaïéva, femme passionnée, provocatrice, pleine d’un vide qu’elle désespère de combler. Avec ses enfants comme avec les hommes, c’est compliqué: Vénus Khoury-Ghata met en avant ses préférences pour certains de ses enfants. Mauvaise mère? L’auteure ne juge pas, elle montre, froidement.

Paris, Prague ou Berlin sont les sta

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