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A Fribourg, les sœurs de Saint-Paul fêtent un siècle et demi d’apostolat

Les sœurs de Saint-Paul ont vu le jour le 8 décembre 1873 à Fribourg. Cette congrégation travaille encore à la diffusion de médias religieux en Europe et sur d’autres continents.

Les sœurs de la communauté de Fribourg, de g. à dr., au premier rang: Thérèse-Martin Cherpit, Cécile-Bénédicta Esseiva, Thérèse-Véronique Térosiet, Thérèse-Andréa Cudré, Bernadette-Agnès Leprivey, Alice-Rose Fries et Marie-Philippe Anatole. Deuxième rang: Marguerite-Christiane Berset, Camille-Laure Glasson, Thérèse-Camillia Hass, Jacqueline-Marie Bonnerave, Monique-Irène Melly, Marguerite-Blandine Currat, Annelise-Ida Studer et Jeanne-Christiane Degbey. Troisième rang: Cécile-Jean Boullenger , Marie-Ange Pham Thi Phuong Hue, Monique-Augustin Fasel, Gilbert-Myriam Vaucher, Eliane-Ida Chammartin, Marie-Elisabeth Bui Thi Ngat, Thérèse-Ursula Rotzler, Maria-Salésia Bersier, Marie-Madeleine-Noëlle Panchaud et Anna-Béata Suter. Quatrième rang: Louise-Emmanuelle Villageois, Thérèse-Stéphane Maillard, Agnès-Thérèse Diène et Michèle-Dominique Gisiger. © Jean-Baptiste Morel

Patrick Chuard

Patrick Chuard

5 décembre 2023 à 10:10

Temps de lecture : 1 min

Eglise catholique » Un groupe de jeunes femmes décidaient, le 8 décembre 1873, il y a 150 ans, de consacrer leur vie au Christ. Appelées par leur père fondateur, le chanoine Joseph Schorderet, elles deviendront une communauté de sœurs actives dans l’impression de journaux et de médias religieux.

La Liberté, qui a fêté également ses 150 ans il y a deux ans, a été portée par ces sœurs qui l’ont composée et imprimée pendant des décennies, dans des conditions spartiates, s’endormant chaque soir au bruit de la rotative. Un siècle et demi après sa fondation, la congrégation des sœurs de Saint-Paul compte 107 religieuses, dont 30 à Fribourg, 40 au Vietnam, 22 à Madagascar, 9 au Burundi et 6 au Cameroun.

Ce que les sœurs fêteront ce 8 décembre, dans leur maison historique au 38 du boulevard de Pérolles et sur les autres continents, c’est la fondation d’une congrégation. «La vie communautaire a une dimension essentielle dans notre vie religieuse. Nous sommes des femmes consacrées à Dieu, qui est à l’origine de l’appel de chacune de nous», explique Sœur Agnès Diène, supérieure générale de la Congrégation.

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