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Canton

Sarah Jaquemet, cette photographe châteloise passée du MMA aux cupcakes

Parcours insolite de la photographe châteloise Sarah Jaquemet, qui s’est illustrée aux Etats-Unis

«Les lumières, les faciès: il n’y a pas de chiqué», réalise la photographe.

 Stéphane Sanchez

Stéphane Sanchez

25 janvier 2023 à 02:01

Temps de lecture : 1 min

Photographie » Lumineux, avec ses boiseries blanches striées d’une forêt de réflecteurs et de projecteurs, le studio cosy que Sarah Jaquemet a récemment ouvert à Bulle est un temple des cupcakes Bonne Maman, des compotes Andros et autres douceurs alléchantes. Mais c’est dans un tout autre registre que cette photographe indépendante de 36 ans, domiciliée à Châtel-Saint-Denis, s’est forgé une réputation. Pendant près de six ans, la «petite Suissesse» expatriée à Coconut Creek, en Floride, a hanté l’académie de l’American Top Team (ATT), l’un des sanctuaires mondiaux des arts martiaux mixtes (MMA). Au menu: sang et souffrance.

Rien ne prédestinait Sarah Jaquemet, née à Corcelles-près-Payerne, à ce parcours insolite. «Je saute dans tous les trains. Ma vie, ce n’est que ça! On n’en a qu’une, il faut y aller», glisse cette hyperactive, happée à 22 ans – avant même la fin de son cursus à l’école de photographie de Vevey – par un réalisateur, pour faire des repérages de paysages pendant deux ans, en France et au Canada, pour un film jamais tourné.

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