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Le parlement fait son MeToo

L’esclandre et l’arrêt de la séance du Grand Conseil ce mardi secoue le monde politique vaudois

La suspension de séance mardi, après des accusations de harcèlement sexuel en plein débat, provoque de fortes turbulences au Grand Conseil vaudois. © Keystone/photo prétexte
La suspension de séance mardi, après des accusations de harcèlement sexuel en plein débat, provoque de fortes turbulences au Grand Conseil vaudois. © Keystone/photo prétexte

Achille Karangwa

Publié le 01.06.2023

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Grand Conseil » La suspension exceptionnelle de la séance du Parlement vaudois mardi (notre édition du 31 mai) fait encore réagir le monde de la politique cantonale. Suite à une allusion de harcèlement sexuel de la députée d’Ensemble à gauche Elodie Lopez accusant le PLR Jean-Luc Bezençon, ainsi que le témoignage de deux de ses collègues dans Le Courrier et dans 24 heures, d’autres récits font surface.

Mardi soir, plusieurs politiciennes de gauche ont dénoncé sur Twitter le sexisme de collègues masculins de droite à force d’exemples réunis sous le slogan «Faites le ménage au lieu de crier!» et le mot-dièse #MeToo.

«Petite robe moulante»

La conseillère nationale verte Léonore Porchet a témoigné de l’attitude d’un ancien collègue PLR lor

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