Une première saison pour apprendre pour de Sybourg et Gaillard
Associé à Karen Gaillard en championnat d’endurance, Grégory de Sybourg rêve du Mans en 2026
Pascal Dupasquier
Temps de lecture estimé : 7 minutes
Automobilisme » On avait quitté Grégory de Sybourg en novembre de l’année dernière, au terme de sa première saison dans le sport automobile, celui qui fut si cher à son grand-père Jo Siffert. Une saison disputée au volant d’un prototype Funyo – du nom de la marque française qui organise son propre championnat – et que le Fribourgeois de 19 ans a couronnée du titre dans la catégorie juniors Sprint Cup réservée aux pilotes de moins de 25 ans. Une saison où, disait-il alors: «J’ai prouvé que j’ai le potentiel et que je peux aller de l’avant».
Aller de l’avant, aujourd’hui, c’est concourir en Ultimate Cup Series, compétition d’endurance monomarque qui est la porte d’entrée aux 24 Heures du Mans: l’épreuve de légende que l’apprenti mécatron