La journée «Futur en tous genres» permet à des milliers d’enfants suisses de 7H à 10H de découvrir un large panel de métiers. Mais est-ce vraiment utile d’aider de si jeunes écoliers à s’orienter? Réponse d’une professeure en psychologie de l’Université de Fribourg.
Aujourd’hui à 07:00, mis à jour à 08:21
Temps de lecture : 3 min
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Responsable en ressources humaines, vendeur, physiothérapeute, architecte, ingénieur… Ce jeudi 13 novembre, la journée «Futur en tous genres» permet à des milliers d’élèves suisses de 10 à 14 ans de découvrir très concrètement et hors de l’école des métiers généralement peu associés à leur genre. Dans ce cadre, ils peuvent accompagner leurs proches dans leur activité professionnelle ou participer à des ateliers. L’objectif de la démarche est d’aider les écoliers à découvrir leurs affinités professionnelles et à dépasser les stéréotypes.
Dès 2030, la journée d’information doit être obligatoire aussi pour les femmes, souhaite le Conseil fédéral. «Les équipes mixtes sont meilleures», estime Martin Pfister.
