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L’UDC de Suisse romande a fini de rire

A un an des élections fédérales, le parti blochérien doit faire face à quatre départs sensibles

En Suisse romande, l’UDC s’est peut-être trop reposée sur l’élection du Vaudois Guy Parmelin au Conseil fédéral, à la fin 2015. © Keystone-archives
En Suisse romande, l’UDC s’est peut-être trop reposée sur l’élection du Vaudois Guy Parmelin au Conseil fédéral, à la fin 2015. © Keystone-archives

Philippe Castella

Publié le 21.08.2018

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Politique » C’était à l’automne 2015. L’UDC remportait 12 sièges aux élections fédérales en Suisse romande, un record. Dans la foulée, le Vaudois Guy Parmelin était élu au Conseil fédéral. Alors que le parti commençait à connaître un tassement en Suisse alémanique, il portait ses espoirs sur les Welches pour continuer à progresser.

L’UDC en Suisse romande était en pleine euphorie. Et là, patatras! Elle s’est mise à courir de bisbilles en déroutes électorales ces trois dernières années. Il y a eu les affaires Claude-Alain Voiblet et Fabienne Despot dans le canton de Vaud, l’exclusion du conseiller national Raymond Clottu à Neuchâtel suivie d’une déroute aux élections cantonales (perte de 11 sièges sur 20), la non-réélecti

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