Le mot de la fin

La principale raison pour laquelle je me suis rendu au Strap’ à Fribourg, je l’admets, était Philippe Ducarroz. J’aime bien Philippe. Il a beau être journaliste sportif, il fait partie des gens qui sortent des clous et réservent souvent de bonnes surprises à leur monde.

La surprise avec lui, cet automne, c’est le Strap. Il a ouvert ce café-théâtre dédié à l’humour, et un peu à la musique, sous l’Hôtel de la Rose à Fribourg. Ambition de Ducarroz et de ses amis de l’association du Strapontin: faire de cet ancien haut lieu des nuits fribourgeoises un des endroits les plus riants de la ville.

Ce soir-là, Ducarroz est donc de bon humour. Sauf que le patron, vite absorbé par son boulot de patron, doit me laisser. Il fait bien, cela me permet de tomber sous le charme du lieu.

Lové sous