Du film de Noël nunuche au documentaire angoissant
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Ecrans » Il y a quelques jours, tout avait bien commencé. En entamant le mois de novembre je me fichais du brouillard et de la nuit tombant à 17 heures. Car débarquait sur les petits écrans ma réjouissance (coupable) de fin d’année: les films de Noël. Netflix qui me connaît bien ne s’y est pas trompé. A peine disponible, il m’a proposé de regarder Un safari pour Noël (Holiday in the Wild, un poil moins nunuche en anglais). Comment résister? Kristin Davis (la Charlotte coincée de Sex and the City) et Rob Lowe (A la Maison-Blanche, Brothers and Sisters, un autre plaisir coupable) y incarnent les deux âmes en peine qui finiront par s’embrasser.
Ensuquée devant des ressorts narratifs plus gros que des éléphants (et il y en a dans Un Safari pour Noël), je n’ai pas vu le coup arriver. Quelques heures à peine ap