La Der, une porte ouverte…
Temps de lecture estimé : moins d'1 minute
J’ai lu le Mot de la fin de Michaël Perruchoud du 29 septembre sous le titre «Si on laissait les soucis sur le palier?» J’ai apprécié cet écrit pour son questionnement, sa réflexion en profondeur. La page entière est d’ailleurs bien faite, de l’Image du jour intitulée «Un lancer pour l’éternité» (coup d’envoi d’un match de baseball donné par une centenaire américaine) à la réflexion de Cicéron mise en citation: «On n’est pas privé de ce dont on n’a pas besoin.»
Mon souhait est que cette ultime page du journal reste ce qu’elle est, une porte ouverte sur le possible dans un monde souvent impossible. Je donne grandement raison à votre excellent Michaël: «Nous sommes connectés au monde entier et déconnectés de nous-mêmes.»
Pas étonnant que le nez au sol ou sur des écrans de toutes sortes, nous ne trouvions plus l’autre dans la réalité!
Gérald Riedo, Fribourg