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Une déclaration d’amour addictive

Partagé entre les styles de deux époques, le jeu indépendant Rogue Legacy a de quoi rendre addicts les vieux joueurs comme les nouveaux...
Un donjon malicieux truffé de monstres qui est aussi un hommage visuel aux années 80. DR
Un donjon malicieux truffé de monstres qui est aussi un hommage visuel aux années 80. DR

Louis Rossier

Publié le 24.01.2014

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Dans Rogue Legacy, on trouve beaucoup d’humour, un donjon, des monstres, des trésors, des pièges, et une quête épique qui se tisse discrètement en arrière-plan. Mais dans Rogue Legacy, on meurt très vite. Heureusement, une fois dans l’au-delà, on est capable de désigner parmi ses enfants un digne héritier qui reprendra la fortune et la panoplie de papa pour tenter à son tour de percer les mystères du donjon. Le hic, c’est que ce dernier, plutôt capricieux, décide de mélanger entièrement ses salles durant la passation du flambeau, contraignant Sir Henry junior à surmonter de nouveau les chausse-trapes vicieuses et les créatures retorses qui regorgent dans les couloirs du donjon.

Résolument rétro avec ses graphismes en 2D, Rogue Legacy suscitera de longues addictions grâce au principe du «die & retry» (n,d,l,r,: meurs et réessaie). Ce système, poussant le joueur à mourir souvent pour réessayer immédiatement, a été popularisé par des jeux comme Super Meat Boy. Le joueur ne s’atta

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