Mise en place à la fin 2020, cette sensibilisation a déjà permis l’installation de 320 nichoirs chez quelque 50 propriétaires. «La raison de cette action, c’est que l’hirondelle est un oiseau qui diminue beaucoup, mais pour lequel chacun peut agir. Certaines espèces sont plus difficiles à aider, mais l’hirondelle non», explique Yvan Rime, membre du comité.

Dans un communiqué, l’association explique aussi qu’il arrive que les nids soient détruits ou que certaines rénovations condamnent des colonies occupées de longue date. «De plus, ce petit insectivore peine à trouver de la boue argileuse pour construire son nid dans nos villes et villages bétonnés et goudronnés. En tant qu’insectivore, sa nourriture se fait aussi de plus en plus rare», constate encore le Cercle ornithologique.

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