Rapports Eglises-Etat: Un amendement sur la radicalisation a été refusé pour une voix
Le Grand Conseil a définitivement accepté la loi concernant les rapports entre les Eglises et l’Etat.
Dominique Meylan
Temps de lecture estimé : moins d'1 minute
Le canton disposera bientôt d’un conseil pour les questions religieuses, composé de représentants des principales communautés confessionnelles et de l’Etat. Les conditions pour l’octroi de prérogatives de droit public ont été revues et renforcées. Ces nouveautés ressortent de la modification de la loi concernant les rapports entre les Eglises et l’Etat, qui a été acceptée par le Grand Conseil vendredi au terme de la deuxième lecture (81 oui, 13 non). Seule une partie de l’UDC s’est opposée au moment du vote final.
La gauche a tenté de faire passer un dernier amendement demandant au Conseil d’Etat de prendre des mesures pour lutter contre la radicalisation dans les prisons. «Ce n’est pas illusoire, c’est une réalité», a avancé son auteur, le socialiste Grégoire Kubski (Fribourg). Selon la majorité, cet ajout était inutile. Malgré le soutien de l’UDC, l’amendement a été refusé pour une voix (47 oui, 48 non et 2 abstentions).
body.news.news-detail .content-main .encadre h2 { f