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«Je vis les problèmes du quotidien»

Anaïs Timofte défend les couleurs du Parti ouvrier populaire (POP) dans la compétition électorale

Jérôme Cachin

Publié le 19.02.2019

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Succession de Maillard » Anaïs Timofte, 27 ans, est nouvelle en politique. Cette assistante en science politique, mère célibataire, veut faire entendre une «voix populaire» dans la campagne. La candidate du Parti ouvrier populaire (POP) compte parmi les trois «petits» candidats à s’être lancés dans la course. Elle répond aux questions de La Liberté, après Jean-Michel Dolivo (Solidarités, Ensemble à gauche) et avant le PDC Axel Marion.

Vous êtes candidate au Conseil d’Etat sans avoir été élue nulle part. Ce n’est pas un peu difficile?

Anaïs Timofte: La participation aux élections a chuté en quelques dizaines d’années. Les principaux partis ne se posent pas la question de la confiance que les citoyens peuvent placer en eux. Les autres candidats présentent des profils qu’on a déjà vus cent fois. Moi, depuis dix ans, je tourne avec moins de 4000 francs par mois. S’investir en politique, tenir des réunions, faire des campagnes électorales, c’est a

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