Crise » Monique Misiego-Bays a lancé la contestation contre le duo dirigeant du POP. Pour se défendre, elle se dévoile.

«Nous demandons une meilleure démocratie interne et nous souhaitons que les membres du POP puissent s’exprimer dans les assemblées.» Ce vœu, c’est Monique Misiego-Bays, présidente de la section Lavaux-Oron-Riviera, qui le formule. Cette militante popiste mène la contestation contre le duo à la tête du parti, le secrétaire général Christophe Grand et le président Gavriel Pinson (notre édition d’hier). A souligner aussi que les deux mêmes occupent des fonctions identiques dans l’organigramme du Parti suisse du travail.

Aujourd’hui, Monique Misiego-Bays franchit un pas: elle ne souhaite plus être anonyme dans les médias. Car elle veut répondre directement aux accusations portées contre elle, en réaction à la dénonciation qu’elle a lancée.

Elle confirme, preuve à l’appui, que ce sont ni plus ni moins que 19 membres du parti qui ont signé la longue l