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Ecublens, «ville à la campagne»

Série d’été - Un nom, deux communes (2/6) • Le village glânois a un cousin vers Lausanne, abritant l’EPFL et l’UNIL. Bonaparte l’a traversé, Lénine y a vécu. Villas et industries côtoient un mini-Ballenberg.

La commune d’Ecublens (VD) est surtout connue pour ses hautes écoles: elle abrite 100% de l’EPFL, dont on voit le Rolex Learning Center, et les deux tiers de l’Université de Lausanne. Avec ses 12250 âmes, c’est aussi une ville à la campagne. © Alain Wicht/La Liberté
La commune d’Ecublens (VD) est surtout connue pour ses hautes écoles: elle abrite 100% de l’EPFL, dont on voit le Rolex Learning Center, et les deux tiers de l’Université de Lausanne. Avec ses 12250 âmes, c’est aussi une ville à la campagne. © Alain Wicht/La Liberté
Le bourg de Bassenges. © Alain Wicht/La Liberté
Le bourg de Bassenges. © Alain Wicht/La Liberté
Le hameau de Renges. © Alain Wicht/La Liberté
Le hameau de Renges. © Alain Wicht/La Liberté
La Venoge. © Alain Wicht/La Liberté
La Venoge. © Alain Wicht/La Liberté

Francis Granget

Publié le 23.07.2014

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Dominée par le château de Rue, la commune d’Ecublens, en Glâne, partage son nom avec une prestigieuse cousine de l’Ouest lausannois. «Notre ville est la plus intelligente du canton de Vaud», relève d’emblée la municipalité de cet homonyme. Très contrastée, avec des zones urbaines et rurales, la commune est en effet marquée par la forte présence de deux hautes écoles.

L’EPFL et l’Université de Lausanne (UNIL) occupent un vaste territoire au sud d’Ecublens, là où était projeté, un temps, un aéroport. Un projet enterré en votation populaire, à la mi-novembre 1946, par une majorité de Vaudois. Au même titre que l’ouverture de l’autoroute A1 pour l’Expo 64, qui a favorisé l’implantation d’industries, l’arrivée de hautes écoles, d&egr

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